La folie de l’amour
Fiche-moi la paix
Puisque tu sais
Me faire plaisir
Fais me suffrir
En silence
Déterminant la fréquence
Cardiaque
CLAQUE!
La flaque
D’eau de mes larmes
Seul support de charme
J’aimerais bien t’embrasser
On en rigole déjà assez
Comme ca
Haha ha
Suffit maintenant !
Tant ...
Que je crie
Comme si
Mon coeur est pris
Par des non-voyants
Qui se mêlent dedans
C’est à n’y pas tenir
Penser à l’avenir
Incertain
Être en train
D’envier que tu seras là
Voudrais – mais tu n’es pas
Avec moi
Mais je crois
Qu’une fois
Pour concilier
Tu ne pourras plus m’oublier
T’as des beaux yeux
Semblable aux dieux
Chérie
Font des amants en série
Autant que moi
Ils s’éprennent de toi
À tort
Mais si fort
Zut alors !
J’en ai ras le bol
De sentir comme une folle
Tu ne sais rien du malheur
Que tu portais à mon coeur
Mais la vérité bien sentie
Explique que j’ai toujours menti
En disant que tout va bien
En vrai il n’y a rien
Attention !
Une action
Faisant illusion
Seulement pour ne pas t’inquíeter
Durant l’été
Journée significative
En effet multiplicative
C’était le 19 mai en 2003
Je crois
Qu’une flèche du dieu
M’a poussée dans ce cercle vicieux
Pas souhaitable
Au diable
Mais incapable
De lutter contre cette
Conspiration chouette
J’étais dans la lune
Sans aucune
Pensée aux soucis
J’ai jouis
De ta tendresse affectionnée
Du frémissement passionné
Je craque
Pour ton attaque
Cardiaque
Impossible dans ma vie
En dehors du fantaisie
Ètant dans le pétrain
J’essaie d’oublier le chagrin
En mangeant
En étant outrageant
Ou en me bourrant la gueule
En me coupant – toute seule
Je pleure
D’humeur
En ayant peur
De mes coups de désespoir
Tout noirs
Tu m’a donnée une devinnette
De facon toute claire et nette
Mais j’ai la comprennette un peu dure
En étant si sûre
Qu’il y aurait une liaison
Absolument
Faux
À nouveau
J’ai fait des châteaux
En Espagne
Ce n’est pas moi qui gagne
Quand la nuit tombe
Je succombe
Sous mes cauchemars
Sans crier gare
On éteint
Le dernier peu saint
D’espoir
Obligatoire
Pour choir
Et coucher tranquille
En rêvant de cette fille
Au voleuse !
Je suis amoureuse
Sans rétablissement
Dès l’envahissement
Mon âme s’est fermé
À clé
Il perd conscience
Par excellence
Alors je commence
À réconquérir
Ce que tu attire
Il arrive parfois
Que je m’en reste coi
De ton look d’enfer
Extraordinaire
Qui me fait sentir
Le désir
De m’adonner
Toute la journée
Au décolletee
Tellement jolie
Mais d’accès interdit
Je t’aime à mourir
Sans pouvoir dire
Pourquoi
C’est moi
Qui ne réussis pas
À resister à la
Force d’attractive
Si vive
Alors j’arrive
À l’amour
Pèsant lourd
Je t’ai regardée
Toute la matinée
Je n’ai pas fait d’autre chose
À cause
De l’espoir
À voir
Une perspective
Affirmative
En définitive
D’une magie amoureuse
Prometteuse
Même si tu t’en vas
Cela s’arrangera
Peut-être
Que je vais connaître
Une fille
Gentille
Qui m’aime
Tout de même
Sans problèmes
Mais les cicatrices vont rester
Pour me compléter
Qu’est-ce que j’ai fait ?
Je ne voulais jamais
Ce beau gâchis
Compris ?
Donc, ce n’est pas possible
Que ce besoin irrésistible
Soit enfermé dehors
De mort
Et alors ?
Ce n’est pas ton affaire
Pas nécessaire !
Je n’y peux rien
Viens
S’il te plaît
Je te ferai
Monter dans ma voiture
Jusqu’au pays des aventures
Galantes
Comme ca te chante
À ta place correspondante
Chez moi
Alors quoi ?
Excuse-moi
Encore une fois
Je suis malade
D’hummeur maussade
Juste
J’en déguste
Trop
De ces ragots
Je manque de culot
Alors je dois
Accepter le déssarroi
Tapé dans le tas
Parce que tu ne m’aime pas
Même pas parfois
Je ne pense qu’à toi
Tu es la seule
Dont je suis veule
À jamais
Je sais
Que c’est
La folie de l’amour
À mon tour
Puisque tu sais
Me faire plaisir
Fais me suffrir
En silence
Déterminant la fréquence
Cardiaque
CLAQUE!
La flaque
D’eau de mes larmes
Seul support de charme
J’aimerais bien t’embrasser
On en rigole déjà assez
Comme ca
Haha ha
Suffit maintenant !
Tant ...
Que je crie
Comme si
Mon coeur est pris
Par des non-voyants
Qui se mêlent dedans
C’est à n’y pas tenir
Penser à l’avenir
Incertain
Être en train
D’envier que tu seras là
Voudrais – mais tu n’es pas
Avec moi
Mais je crois
Qu’une fois
Pour concilier
Tu ne pourras plus m’oublier
T’as des beaux yeux
Semblable aux dieux
Chérie
Font des amants en série
Autant que moi
Ils s’éprennent de toi
À tort
Mais si fort
Zut alors !
J’en ai ras le bol
De sentir comme une folle
Tu ne sais rien du malheur
Que tu portais à mon coeur
Mais la vérité bien sentie
Explique que j’ai toujours menti
En disant que tout va bien
En vrai il n’y a rien
Attention !
Une action
Faisant illusion
Seulement pour ne pas t’inquíeter
Durant l’été
Journée significative
En effet multiplicative
C’était le 19 mai en 2003
Je crois
Qu’une flèche du dieu
M’a poussée dans ce cercle vicieux
Pas souhaitable
Au diable
Mais incapable
De lutter contre cette
Conspiration chouette
J’étais dans la lune
Sans aucune
Pensée aux soucis
J’ai jouis
De ta tendresse affectionnée
Du frémissement passionné
Je craque
Pour ton attaque
Cardiaque
Impossible dans ma vie
En dehors du fantaisie
Ètant dans le pétrain
J’essaie d’oublier le chagrin
En mangeant
En étant outrageant
Ou en me bourrant la gueule
En me coupant – toute seule
Je pleure
D’humeur
En ayant peur
De mes coups de désespoir
Tout noirs
Tu m’a donnée une devinnette
De facon toute claire et nette
Mais j’ai la comprennette un peu dure
En étant si sûre
Qu’il y aurait une liaison
Absolument
Faux
À nouveau
J’ai fait des châteaux
En Espagne
Ce n’est pas moi qui gagne
Quand la nuit tombe
Je succombe
Sous mes cauchemars
Sans crier gare
On éteint
Le dernier peu saint
D’espoir
Obligatoire
Pour choir
Et coucher tranquille
En rêvant de cette fille
Au voleuse !
Je suis amoureuse
Sans rétablissement
Dès l’envahissement
Mon âme s’est fermé
À clé
Il perd conscience
Par excellence
Alors je commence
À réconquérir
Ce que tu attire
Il arrive parfois
Que je m’en reste coi
De ton look d’enfer
Extraordinaire
Qui me fait sentir
Le désir
De m’adonner
Toute la journée
Au décolletee
Tellement jolie
Mais d’accès interdit
Je t’aime à mourir
Sans pouvoir dire
Pourquoi
C’est moi
Qui ne réussis pas
À resister à la
Force d’attractive
Si vive
Alors j’arrive
À l’amour
Pèsant lourd
Je t’ai regardée
Toute la matinée
Je n’ai pas fait d’autre chose
À cause
De l’espoir
À voir
Une perspective
Affirmative
En définitive
D’une magie amoureuse
Prometteuse
Même si tu t’en vas
Cela s’arrangera
Peut-être
Que je vais connaître
Une fille
Gentille
Qui m’aime
Tout de même
Sans problèmes
Mais les cicatrices vont rester
Pour me compléter
Qu’est-ce que j’ai fait ?
Je ne voulais jamais
Ce beau gâchis
Compris ?
Donc, ce n’est pas possible
Que ce besoin irrésistible
Soit enfermé dehors
De mort
Et alors ?
Ce n’est pas ton affaire
Pas nécessaire !
Je n’y peux rien
Viens
S’il te plaît
Je te ferai
Monter dans ma voiture
Jusqu’au pays des aventures
Galantes
Comme ca te chante
À ta place correspondante
Chez moi
Alors quoi ?
Excuse-moi
Encore une fois
Je suis malade
D’hummeur maussade
Juste
J’en déguste
Trop
De ces ragots
Je manque de culot
Alors je dois
Accepter le déssarroi
Tapé dans le tas
Parce que tu ne m’aime pas
Même pas parfois
Je ne pense qu’à toi
Tu es la seule
Dont je suis veule
À jamais
Je sais
Que c’est
La folie de l’amour
À mon tour